Xi’an

Nous voici arrivés à Xi’an par le train rapide Chinois.

Les enfants sont contents de retrouver la modernité et restent scotchés aux vitres du métro même dans les tunnels noirs.

Première journée de visite : terracota warriors, l’armée de soldat en terre cuite avec laquelle s’est fait enterrer l’empereur Qin Shi Huang il y a 2000 ans. Impressionnant ! Cet empereur devait avoir une part de génie et de folie, pour avoir eu l’idée de construire cette armée pour le protéger dans l’au-delà.

A noter : le mausolée de l’empereur n’a toujours pas pu être exploré par les archéologues. Selon la légende, des rivières de mercure protègent le tombeau (un taux élevé de mercure a été relevé par les scientifiques), et il regorgerait de palais emplis de pierres précieuses.

Louis-Marie a été très intéressé par le site et nous a déclaré que quand il serait grand, il voudrait être archéologue (n’oublions pas qu’il veut aussi être pompier et astronaute).

Pour notre deuxième journée dans la ville, nous avons déambulé toute la journée dans le quartier musulman. Un régal pour les papilles et les yeux (le poulpe était délicieux). Nous avons testé toute la cuisine de rue qui nous tentait, avons visité la plus grande mosquée de Chine et acheté une tenue chinoise pour Margaux.

Un moment très agréable pour nous tous, tant pour Margaux qui a goûté à tous les plats, que Louis-Marie qui cherchait de partout des « Minions » à acheter (pour ceux qui ne connaissent pas les Minions, regardez le film "moi, moche et méchant", adorables créatures).

A la conquête de l'ouest Pékinois : Datong et Pingyao

Après quelques jours passés à se reposer à Datong, dans le luxe (c’est-à-dire eau chaude, pression sous la douche et baignoire pour les enfants), nous sommes partis en train de nuit pour Pingyao, joli village fortifié à l’ouest de Pékin.

Louis-Marie attendait ce trajet de nuit depuis le début du voyage, il a adoré et a bien eu du mal à s’endormir. La nuit a été courte pour tout le monde, nous attendrons un peu avant de renouveler l’expérience.

Nous sommes arrivés à Pingyao, le premier jour du festival de la photographie. Formidable diront certains, un cauchemar pour nous... Lors de notre première journée de visite, nous avons été pris au moins 300 fois en photos avec les enfants (sans exagérer).

C’est une ville très touristique, quasi que des touristes chinois, qui viennent de régions reculées de Chine où ils ne croisent jamais de blancs. L’étonnement était au rendez-vous à chaque fois qu’ils nous voyaient. Margaux a créé encore quelques émeutes (nous ne pouvions pas stationner devant un bâtiment ou un magasin, nous devions être continuellement en mouvement) et nous avons dû nous battre pour qu’ils arrêtent de les toucher.

Nous avons fait une excursion à Mianshan, où Louis-Marie nous a épaté en suivant toute la promenade sans râler ; nous avons grimpé une centaine de marches bien raides, puis marché une heure pour accéder à une magnifique pagode, où nous avons emprunté des échelles en bois très étroites pour accéder au sommet.

Nous sommes tous en pleine forme et avons hâte de partir plus au sud pour retrouver la chaleur et  salle de bain digne de ce nom.

Première étape Chinoise : Beijing

Le choc culturel est au rendez-vous de nos premiers jours en Chine.

Nous logeons dans un vieux quartier typique de Pékin appelé Hutong et avons eu la chance de croiser d’autres tourdumondistes dans notre auberge de jeunesse (qui ont en moyenne 10 ans de moins que nous, on se sent vieux lors des soirées), avec lesquels nous avons pu échanger sur nos futures destinations. Des moments très agréables.

Nous avons parcourus les lieux touristiques par excellence de la ville et sa région, la plupart du temps dans un brouillard de pollution.

Promenade au palais d’été avec son lac et ses bateaux en forme du dragon. Déambulation  au temple du ciel où Julien et Louis-Marie ont découvert le « jianzi », le jeu du volant (le but est de frapper un volant avec le pied et de se faire des passes, ce qui demande une certaine adresse).

Excursion à la grande muraille (où nous n’avons croisé, ni loup, ni panda qui mange du riz, à la grande déception de Louis-Marie – en référence au livre pour enfant « le loup qui voulait faire le tour du monde »). Nous avons atteint la muraille par téléphérique (pas assez fous pour monter à pieds avec deux enfants à porter…) et en somme redescendus en luge d’été tous les quatre après négociation pour Margaux, jugée trop jeune pour en faire (là c’est le responsable du toboggan qui nous a traité de « crazy parents »). Les enfants ont adoré.

Puis détour par la cité interdite gardée par des lions et des éléphants, où les enfants ont encore créé des émeutes. Le lieu était noir de monde (quelle idée d’aller la visiter un dimanche !)

Tout le monde s’est bien adapté, en particulier à la nourriture qui est délicieuse, et qui convient mieux à nos papilles que les plats sri lankais. Le seul problème c’est que personne ne parle anglais, donc quand il n’y a pas de photos dans les menus des restaurants, nous mangeons ce qu’on veut bien nous donner et payons le prix qu’on nous demande.

Repos chez les hippies : Hikkaduwa

Quatre jours de repos, avant notre prochaine étape, la Chine.

Au programme, plage, plage et plage. 

Un repos apprécié de tous, dans un endroit magnifique. Nous resterions bien quelques jours de plus.

Nous sommes tous les quatre en pleine forme. 

A partir de la Chine, nous essayerons de poster au fur et à mesure du voyage, maintenant que nous sommes au point.

Dernière étape : Galle

Le fort de la ville de Galle est reposant, loin du bruit de la circulation bruyante et des klaxons permanents ; des rues magnifiques qui rappellent l’époque coloniale (comme Pondichéry).

Un bel endroit où s’installer au Sri Lanka.

Note pour la photo suivante : vous pouvez noter qu’avec le temps, la répartition des charges ne change pas (porte bébé + poussette).

Deuxième safari, …en solo

Julien a eu la chance  de partir seul au lever du jour pour le deuxième safari prévu, dans le parc de Udawalawa. Un peu de repos sans les enfants malgré un levé matinal. 

Rencontres extraordinaires, malgré une visite sur la fin de la saison sèche. Digne des safaris africains par la richesse animale. Nous vous laissons juger.

En solo ???? Et oui, les enfants ont attrapés un virus pas trop grave… façon de parler, le médecin a quand même suspecté la dengue pour Louis-Marie, nous a parlé d’hospitalisation… heureusement les résultats des analyses étaient bons. Une bonne frayeur pendant 24h qui nous ont semblées très longues.

La région montagneuse : au programme, thé, excursion et train

Départ pour la région montagneuse où nous avons visité des plantations de thé et une usine de transformation. Les paysages sont magnifiques et ressemblent par moment à l’Europe. L’une de villes Nuwara Eliya est surnommée la little angleterre, nom bien mérité de part les maisons et le brouillard.

Excursion dans un parc national « Horton’s plain » où nous avons croisés des cerfs et où la vue exceptionnelle (d’après le guide) était dans la brume.

Nous avons effectué une partie du trajet en train dans la région montagneuse et grosse déception. Nous nous attendions à avoir un train ancien, comme ceux que nous avons pu croisés, mais comme la ligne est très empruntée par les touristes, nous avions un train équivalent à notre TER. Louis-marie était quand même très content de prendre le « tchou-tchou » où on peut se pencher aux fenêtres et dont les portes ne sont pas fermées.

Les cités anciennes : Polonnaruwa, Sigiriya et Kandy

Toujours des sites magnifiques, riches d’histoire.

Découverte de nombreuses statues de bouddha, de temples bouddhiste, mais aussi hindous.

Une randonnée au sommet du rocher au Lion à Sigiriya (2h30) où Louis-Marie nous a impressionné en suivant sans râler.

Pour récupérer de chaque visite, petite sieste automatique pour les enfants dès qu’ils sont en voiture.

Visite aussi du temple de la dent (où une dent du bouddha est conservé), un autre lieu de pèlerinage pour les Sri Lankais.

Premier safari Sri Lankais

Départ pour le cœur du Sri Lanka, le triangle d’or.

Premier safari au parc de Minneriya.

Nous avons pris un « ca-cat » (quatre-quatre) qui a plus impressionné Louis-Marie que les éléphants croisés. Rencontre aussi avec des buffles et des crocodiles.

Un très beau souvenir, malgré la chaleur.

Nous vous laissons découvrir...

Pause au bord de la mer

Nous passons quelques jours au bord de la mer à Nilaveli, la « meilleure plage » du Sri Lanka d’après notre guide.

Sur le chemin pour y aller, nous avons été à des sources d’eaux chaudes fréquentées uniquement par les Sri Lankais. Un vrai plongeon au cœur de leur vie quotidienne.

Les enfants sont toujours une attraction pour les Sri Lankais, pour qui cette région était encore en guerre il y a 5 ans et a été rasée par le tsunami de 2004. Nous avons l’impression d’assister aux premiers congés payés des Sri Lankais, qui sont en permanence dans l’eau. S’allonger au bord de la plage n’est pas dans leur habitude.

Mer à 29°C, Louis-Marie s’en donne à cœur joie dans les vagues et n’arrivent plus à en sortir.

Excursion sur une ile en bateau (une barque de pêcheur toute bringuebalante) pour Elodie et les enfants.

Plongée sous-marine pour Julien : deux belles rencontres avec des requins et une tortue qu’il a pu filmer.

Découverte des cités anciennes : Anuradhapura

Première étape de notre voyage avec notre chauffeur guide,
Anuradhapura
Cette ville de haut pèlerinage Bouddhiste pour les Sri Lankais est l’équivalent du Vatican pour les catholiques.

Nous avons eu la chance de la visité un lundi, jour de pèlerinage pour les bouddhistes, le recueillement de la foule est impressionnant.

Notre Margaux a été assaillie par les enfants et les mamans qui veulent tous la toucher. Elle a réussie à provoquer un attroupement digne d’une star, devant une statue de bouddha.

Quant à Louis-Marie, il ne se lasse pas de regarder les singes omniprésents.

Première étape, le Sri Lanka

Nous venons de commencer notre périple par le Sri Lanka. Deux jours à Colombo sous la pluie nous ont permis de découvrir les joies des trottoirs locaux, successions de bouts de bétons et de trous d'eau.
Après une visite de la zone historique du Fort nous avons testé les Tuks Tuks pour le plus grand bonheur de Louis-Marie qui demandait "tou tou tout le temps".

Nous avons aussi découvert les joies de la nourriture locale. Pour faire vieil habitué j'ai voulu mélanger le riz et les épices de ma boite. En fait ils aiment vraiment la nourriture épicée.