samedi 16 mai 2015

Buenos Aires


Ca y est, nous voici à Buenos Aires et les ennuis commencent dès notre arrivée.

Tout d’abord, le taxi depuis l’aéroport, qui nous a coûté le double de ce que notre hôte de la semaine nous avait annoncé. Hôte que nous n’avons d’ailleurs jamais rencontré, car arrivé dans la rue de notre appartement, le numéro de l’immeuble n’existait pas. Louis-Marie nous a demandé – où est la maison ? Elodie lui a suggéré que c’était une maison magique comme dans Harry Potter et qu’elle allait apparaître entre deux immeubles. Il n’y a pas cru….
Après avoir contacté notre hôte qui existait bien, il nous déclare qu’il a annulé notre réservation, ce qui n’était pas le cas. Passons. 22h00, plusieurs heures de voyage dans les pattes, sur un coin de trottoir avec les enfants, nous avons l’air bien malin. Heureusement que nous avions cherché un logement en plein centre-ville, dans un quartier calme. 


Elodie se lance à la recherche d’un logement, se renseigne dans un mauvais espagnol auprès d’étudiants sortant d’université et finit par dégoter une auberge de jeunesse correcte où le prix est négocié ferme. La fin du voyage approchant, chaque euro compte.
Sur cette entrée en matière mouvementée, nous trouverons un autre appartement à louer dès le lendemain matin, à 500 m de notre auberge de fortune.


Ces quelques mésaventures n’ont pas empêchées la magie de la ville d’opérer. Nous nous voyons bien poser nos valises à Buenos Aires, un jour peut-être.

Place de mai et palais présidentiel (Casa Rosada)
Théâtre Colon

  1. Faculté de médecine
Tour San Martin à proximité de la gare centrale
Congrès
La ville est très Européenne. Les gens sont très prévenants et n’hésitent pas à nous renseigner dès que nous sortons la carte (limite oppressant). 

Nous avons visité le quartier de la Boca qui nous a rappelé le temps où nous habitions l’appartement de Pierrot. 

Nous avons dégustée une viande de bœuf succulente au restaurant (viande coupée à la cuillère) avec de la roquette (salade aussi bonne que la viande, nous n’en avions pas mangée depuis des semaines). 

Nous nous sommes régalés à quatre heures d’une tarte aux pommes dans un vieux café où des dizaines d’habitués viennent danser le tango chaque après-midi.

Quartier de La Boca
Resto de viande, tenu par un fan de foot

Ancien théâtre reconverti en librairie


Nos pauses café


Avec les danseurs de tango

Flâneries dans des rues agréables, quelques musées en prime.  Louis-Marie est toujours aussi fan, même si son focus actuel sur la mort nous est rappelé à chaque tableau – Les messieurs qui sont peints, ils sont tous morts ? La statue, il est mort ? Tout le monde est mort ! – Pas toujours facile les visites, épuisantes quelques fois…


Quant à Margaux, elle reste égale à elle-même et distribue des sourires et coucous à chaque personne que nous croissons et qui la regarde. Après « so cute », nous avons le droit à « que linda » (qu’elle est jolie). Un vrai petit démon en fait, qui commence à suivre son frère de partout pour les bêtises avec un sacré caractère – presque normal pour un mélange de Saillard et de Merle…


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